Prévision climatique d'un mini-âge de glace à l'horizon 2030 !

Eh si le climat ne se réchauffait pas mais se refroidissait considérablement dans le futur ?

Cette thèse n'est pas un canular même si elle  semble au demeurant complètement en décalage en cet été  2023 avec les prédictions alarmistes et même apocalyptiques d'une planète en surchauffe et en ébullition à l'horizon 2050.

Et pourtant cette théorie très sérieuse avait été développée il y a plusieurs années par une société savante britannique. 

Un groupe de chercheur de la prestigieuse Royal Astronomical Society dirigé par le Professeur Valentina Zharkova aurait trouvé une méthode avec un taux de fiabilité de 97% pour prédire le climat de notre futur.

Pour ces scientifiques l'activité du soleil pourrait brutalement chuter de 60% d'ici l'année 2030-2040, ce qui provoquerait une baisse généralisée des températures terrestres comme à l'époque du règne de Louis XIV entre 1645 et 1715. 

Cette période était tellement froide que les fleuves du nord de l'Europe comme la Seine, ou la Tamise gelaient en hiver, et les températures en France pouvaient régulièrement descendre à - 25°C.

Des fresques et peintures existeraient pour authentifier cette période que les climatologues baptisèrent mini-âge de glace ou minimum de Maunder. 

Cette théorie sera bien entendu réfutée avec la plus grande vigueur par les scientifiques très politisés du GIEC, car l'heure est à l'incrimination des activités humaines responsables du réchauffement climatique pour  imposer la carte carbone qui vient d'ailleurs d'être annoncée sur le site ministériel français.

Et pourtant dès les années 2011 Richard Harrison du Rutherford Appleton Laboratory déclarait au micro de la BBC en s'appuyant sur la diminution des tâches solaires, que nous allions tout droit vers un mini âge de glace.

En 2014 c'est la NASA qui alertait déjà sur la possibilité d'un tel phénomène avec beaucoup moins de certitude, mais l'hypothèse existait déjà.

Le site Altantico révélait que les probabilités de modifications majeures allant dans ce sens étaient de l'ordre de 20%.

L'astrophysicien Etienne Parizot professeur à l'université Paris Diderot et chercheur au laboratoire AstroParticule et Cosmologie était quant à lui beaucoup plus prudent, même s'il ne fermait pas à l'époque la porte à ce modèle basé sur l'étude des cycles solaires et des rayons cosmiques associés à l'activité magnétique.

Sources Figaro Sciences du 13 juillet 2015

Une mini-période glaciaire pourrait toucher la Terre à partir de 2030 (lefigaro.fr)

Retrouvez notre dernière vidéo qui porte sur ce sujet ainsi que sur la carte carbone avec sur la chaîne odyssée un reportage en 7 parties diffusé sur la chaine Planète dans les années 2008 qui contredit la thèse actuelle du réchauffement climatique Anthropique