Le PSG bute contre le mur jaune du Borussia Dortmund aux portes de la finale
Publié le 8 Mai 2024
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Dans l'arène brûlante de la Ligue des Champions, le Paris Saint-Germain a affronté un adversaire sous estimé par de nombreux observateurs sportifs : le Borussia Dortmund.
Sur la double confrontation, Mbappé et ses coéquipiers se sont littéralement heurtés à un mur jaune et noir allemand.
Malgré sa bonne volonté, l'équipe parisienne n'a pas su rassembler toutes les ressources physiques et mentales sur ces 180 minutes de jeu pour emballer la rencontre, et trouver la clef afin de leur ouvrir les portes de la finale qui semblait pourtant à portée de main.
Cette épopée jusqu'à présent à la fois glorieuse et chanceuse, s'est transformée en un récital de déception, avec sur le match aller à l'extérieur une défaite d'un PSG peu inspiré 0-1, et une nouvelle déconvenue ce soir sur le même score cette fois devant ses supporters dans un stade pourtant en effervescence pour encourager leurs joueurs.
Au delà du manque d'impact surtout sur le match aller, et trop de déchets techniques pour ce niveau de la compétition, c'est aussi la réussite qui a fuit les hommes de Luis Enrique avec un nombre déconcertant de poteaux et de barres transversales sur les deux matchs, 6 au total pour 31 occasions et 0 buts, rappelant les tristes mésaventures de Saint Etienne il y a 48 ans (4 cycles jupitériens), un certains 12 mai 1976.
Lors de la finale de la Coupe des Clubs Champions européens (maintenant connue sous le nom de Ligue des Champions de l'UEFA) entre le Saint Etienne et le Bayern Munich, le club français de Dominique Rocheteau et Jean Michel Larqué s'était heurté aux fameux "maudits poteaux carrés".
Dans ce match, les verts avaient frappé les poteaux ou la barre transversale à trois reprises. C'est pourquoi ce match est souvent rappelé comme celui des "maudits poteaux carrés".
C'est ainsi que derrière l'élimination et la défaite du PSG ce 7 mai 2024 se cache des similitudes frappantes tant au niveau du scénario que sur le terrain zodiacal et astral avec cette triste journée de 1976.
Le destin semble s'amuser à jouer dans le zodiaque avec les mêmes astres , notamment avec le Soleil en Taureau et Jupiter dans le 2e signe du zodiaque lors des deux confrontations.
- 12 mai 1976: Soleil/Vénus/Jupiter en Taureau en opposition à Uranus en Scorpion
- 7 mai 2024 : Soleil/ Vénus/ Jupiter en Taureau conjonction à Uranus en Taureau
C'est ainsi que les frappes sur les poteaux, le manque d'inspiration, et surtout, le Mur Jaune qui s'est dressé devant les attaquants parisiens, ont transformé l'espoir en désillusion.
Nous espérions que le rassemblement planétaire de ce mardi 7 mai en Taureau avec la Lune du soir dans le signe zodiacal de Luis Enrique lui donnerait l'inspiration, tant dans sa préparation que dans sa composition d'équipe pour transcender la barrière de Saturne en Poisson qui semblait d'emblée poser les limites de la performance sportive aux demi finale, pour emmener ses joueurs et tout un club dans une 2e finale historique de cette prestigieuse compétition. (Lire notre publication postée comme tout un symbole le 12 mai 2023, 12 mai comme en 1976)
Malheureusement il n'est pas encore l'heure de sabler le champagne, mais plutôt le gout amer de la défaite qui servira une nouvelle fois d'expérience et de leçons à tirer pour l'avenir, en aidant le PSG à identifier ses faiblesses et à se préparer pour d'autres échéances futures.
Le seul but de la rencontre marqué par l'expérimenté Mats Hummels (Sagittaire ascendant Balance du 16 décembre 1988 à 2h49 avec Mars en Bélier et Jupiter en Taureau),de la tête qui a pris l'ascendant sur le jeune Beraldo 20 ans,(Sagittaire )fait penser au but qu'il avait déjà marqué en 1/4 de finale de la coupe du monde face à l'équipe de France le 3 juillet 2014. Le score final 1-0 comme ce soir, prenant le meilleur sur celui qui n'était encore que le jeune Raphaël Varane.
Ce même Raphaël Varane qui soulèvera avec ses autres coéquipiers en bleu 4 ans plus tard la coupe du monde 2018.
Si les dirigeants et les supporters savent être patients, focus sur leurs objectifs sportifs, sans prêter trop d'intérêt aux critiques journalistiques, comme le furent les dirigeants de Manchester City avec Pep Guardiola pendant 10 ans à essuyer les échecs avant de soulever le précieux trophée, d'autres conjectures planétaires pourraient dans le futur être plus favorables au PSG pour dépasser ce stade du dernier carré.
Notamment le retour de Saturne en Bélier escortée de Neptune qui amorcera ses premiers transits autour du 26 mai 2025. L'année prochaine pourrait être mouvementée, ce sera l'épreuve du feu, il faudra s'accrocher pour récolter plutôt après 2026.
Observons que depuis la création de la Ligue des Champions (anciennement Coupe des Clubs Champions européens) en 1956, les clubs français ont atteint la finale à sept reprises. Voici ci-dessous la liste des fois où cela s'est produit, avec le nombre d'années écoulées entre chaque finale :
1. Stade de Reims (1956)
- 13 juin 1956 : Finale perdue contre le Real Madrid.
Influences planétaires
Jupiter/Pluton 25°59 Lion conjonction Lune
Saturne 25°50 R Scorpion
Neptune 27°47 R Balance
Mars 5°28 Poisson
Soleil/Mercure 22°72 et 1°37 Gémeaux
Vénus 5°52 R Cancer
2. Stade de Reims (1959)
- 3 juin 1959 : Finale perdue contre le Real Madrid.
- Nombre d'années écoulées depuis la précédente finale (1956) : 3 ans
Jupiter/Neptune 25°11 et 4°36 rétrograde Scorpion
Saturne 5°26 R Capricorne
Mars 1°23 du Lion
Soleil/Mercure 12° Gémeaux
Vénus 26°17 Cancer
3. AS Saint-Étienne (1976)
- 12 mai 1976 : Finale perdue contre le Bayern Munich.
- Nombre d'années écoulées depuis la précédente finale (1959) : 17 ans
Jupiter/Venus 11° Taureau opposition Uranus 4°20 scorpion
Neptune 13°R du Sagittaire
Mars/Saturne 27° Cancer conjonction
Pluton 10° Balance
Soleil 21°49 Taureau
Mercure 3°19 Taureau
4. Olympique de Marseille (1991)
- 29 mai 1991 : Finale perdue contre l'Étoile Rouge de Belgrade.
- Nombre d'années écoulées depuis la précédente finale (1976) : 15 ans
Jupiter/Mars Lion 1°42/8°35
Saturne 6°42 Verseau
Vénus 22°09 du Cancer
Uranus/Neptune 13°/16° Capricorne
Pluton 18° Scorpion
5. Olympique de Marseille (1993)
- 26 mai 1993: Finale gagnée contre l'AC Milan.
- Nombre d'années écoulées depuis la précédente finale (1991) : 2 ans
Jupiter 4°48 R Balance
Saturne 0°09 Poisson
Uranus/Neptune 21/20° R Capricorne
Mars 14°27 Lion
Vénus 20°22 Bélier
Pluton 20° Scorpion
6. AS Monaco (2004)
- 26 mai 2004 : Finale perdue contre le FC Porto.
- Nombre d'années écoulées depuis la précédente finale (1993) : 11 ans
Jupiter 9°35 Vierge
Mars/Saturne 12/11° Cancer
Neptune 15°26 Verseau
Uranus 6°45 Poisson
Pluton 20° Sagittaire
7. Paris Saint-Germain (2020)
- 23 août 2020 : Finale perdue contre le Bayern Munich.
- Nombre d'années écoulées depuis la précédente finale (2004) : 16 ans
Jupiter Saturne Pluton 18/26 °R capricorne
Neptune 20°R Poisson
Uranus 10°38 Taureau
Mars 26° Bélier
Soleil Mercure vierge
Lune scorpion
Résumé des années écoulées entre chaque finale :
- 1956 à 1959 : 3 ans
- 1959 à 1976 : 17 ans
- 1976 à 1991 : 15 ans
- 1991 à 1993 : 2 ans
- 1993 à 2004 : 11 ans
- 2004 à 2020 : 16 ans
Si on suit la répétition de ces cycles nous aurions dû avoir une nouvelle finale pour le PSG 2/3 ans voir 4 ans après sa finale perdue de 2020, c est à dire en 2023 ou cette saison 2024 mais ce n'est pas encore le cas. Sans doute faudra t il attendre 2027 et le retour de Jupiter en Lion comme en 1956 et 1991
A noter que Dortmund avait remporté une finale de la coupe des coupes le 5 mai 1966 face à Liverpool sous l'influence du Soleil en Taureau et surtout Saturne autour des 26° du Poisson alors que notre ciel de ce printemps 2024 enregistre bien Saturne à 17°14 du Poisson aux côtés de Neptune.
Cette reproduction astrale pourrait être une autre façon de comprendre la victoire de Dortmund ce soir qui a su produire un jeu sans ballon très efficace pour faire déjouer leurs adversaires. Et faire preuve d'un réalisme chirurgical devant le but sur leurs temps forts.