Les hôpitaux en faillite dans le monde: Grèce, Vénézuela, Roumanie, Algérie, Belgique, Royaume-Uni

Le fait d'actualité:

Le 18 février dernier, nous avions consacré un sujet sur l'état de délabrement avancé de notre hôpital public à la française dans une vidéo intitulée: " L'hôpital public au bord du burn out! La goutte d'eau de Neptune qui fait déborder le vase du Poisson".

Neptune  est un peu la belle âme de notre humanité. Installée dans le signe empathique du Poisson depuis 2012, l'astre continue à revendiquer sa souffrance et son mal-être de vouloir  continuer à prendre en charge et soigner ses semblables dans les meilleures conditions possibles, mais plus au détriment de son personnel de santé de plus en plus pressurisé. 

La récente et terrible affaire du décès de Naomi est la triste illustration que certains personnels hospitaliers au demeurant de bonne volonté, et compétents finissent à la longue par avoir selon toute vrai semblance des "attitudes déshumanisés" qui les conduisent à faire des erreurs de jugement du degrés d'urgence ou à prendre par dessus la jambe certaines pathologies.

Ce phénomène est la suite logique de ce qui arrive quand le personnel n'est pas ménagé à cause d'une carence ou dysfonctionnement dans la rotation de l'effectif, et que le manque de moyen fait cruellement défaut. 

Peut-être que le livre: "L'hôpital un monde sans pitié" écrit au scalpel par Claire Compagnon et Thomas Sannié pourrait contribuer à davantage vous éclairer.

Pour revenir au resserrement des moyens alloués aux budgets des hôpitaux, cela a commencé doucement mais surement à se faire ressentir surtout depuis 2008 qui coïncide avec l'arrivée de Pluton astre des destructions et des remises en question dans le signe limitatif du Capricorne.

Cette remise en cause profonde s'explique par un modèle économique  bâtit de longue date et qui s'alimente sur la dette.

Pour le comprendre en 10 minutes d'où vient cette dette toxique, je vous invite à regarder cette courte vidéo intitulé:  L'arnaque de la dette publique.

Ce court laïus permettra aux personnes non avisées de comprendre comment l'argent de nos impôts qui sert à financer les fonctions régaliennes de l'état (police, justice...), mais aussi nos services publics (hôpitaux, transport, école..) a été en partie capté par le système bancaire dans la plus stricte égalité, ce  qui a fini à la longue par mettre en faillite toutes ces structures qui sont chacunes un élément de la charpente qui tient debout un pays.

 Saturne le grand "nettoyeur" du système solaire qui a rejoint Pluton le 20 décembre dernier dans son signe réaliste et structurel du Capricorne est en train de dresser le vrai bilan de cette opération établie de longue date.

Si Pluton est un astre secret qui masquait encore pour certains de nos compatriotes la réalité, Saturne est un astre de vérité qui n'a pas l'habitude de la travestir. La 6e planète du système solaire dans son domicile tranche désormais dans le vif en prenant des décisions radicale pour pallier à ces déficits abyssaux.

Ces décisions sont la privatisation de nos "biens communs" et rien ne pourra arrêter ce phénomène vu la puissance de ces deux mastodontes. Les grèves, revendications pour tenter d'endiguer ce phénomène sont peines perdues.

Le tandem Saturne/Pluton cycle de l'austérité  est une énergie très puissante, endurante, calculatrice et froide qui ne connaît pas les critères humains et les frontières puisqu'on retrouve ce phénomène à l'échelle planétaire.

Pour en attester nous vous invitons à retrouver tout une série d'article de presse qui traite de la faillite des hôpitaux et système de santé de plusieurs autres pays que la France.

La Grèce: En seulement 5 ans d'austérité son système de santé publique est complètement ruiné. Les salaires du personnel ont baissé de 45%.

Vénézuela: Les hôpitaux à l'image du pays sont à l'agonie.

Roumanie: Les médecins à 400 euros par mois fuient le pays.

Royaume-Uni: C'est tout le système de santé qui est au bord de la faillite

Belgique: Les coupent budgétaires provoquent la faillite et fermeture des petits hôpitaux. Tandis que les pharmaciens tendent à refuser les patients trop coûteux.

Algérie: Les hôpitaux déclinent aussi de l'autre côté de la méditerrannée.