Le debrief astrologique de la déroute de l'Espagne face au pays-Bas

Publié le 15 Juin 2014

Le debrief astrologique de la déroute de l'Espagne face au pays-Bas

Le fait d'actualité:

Le maillot blanc pour la Roja ne porte décidément pas chance. Le commentateur en début de match nous rappelait que l'équipe nationale d'Espagne ne s'était jamais imposée en match officiel avec cette couleur de maillot sur le dos. Cette cruelle statistique s'est avérée encore plus exacte en ce Vendredi 13 où toute l'équipe et son sélectionneur on vécu un véritable calvaire. Comme ci les dieux du football les avaient complètement lâchés. A la fin de ce premier match de poule contre la sélection hollandaise, le tableau affichait le score sans appel de 5 à 1 pour les oranges. Dans un pays encore très imprégné par les croyances religieuses au sein de sa société, ce résultat catastrophique n'a fait que confirmer que ce chiffre 13 qui renvoi entre autre à Judas le 13e convive pendant le dernier repas du Christ, est vraiment maudit. Les ibériques, tout comme la planète football dans son ensemble cherchent encore les explications de cette monumentale déculottée. Tout le monde se demande surtout si l'équipe qui a tant dominé l'Europe et le Monde, raflant tous les titres les plus prestigieux sur son passage ses 5 dernières années, va parvenir à relever la tête et quand même à se qualifier. Cela dépendra forcément des choix du sélectionneur, et sa capacité à redonner confiance à ses troupes. Les influences planétaires ont souvent un impact non négligeable sur les évènements terrestres. Les petits bouts de carré vert n'échappant pas aux lois astrologiques, jetons un rapide coup d'œil aux prévisions célestes.

Vicente Del Bosque le meneur d'homme.

Vincente Del Bosque est né le 23 décembre 1950 à Salamanque (Espagne heure inconnue). C'est un Capricorne un signe Solide, qui a du sang froid et aussi un homme de communication malgré son apparente placidité. Son ascension et ses victoires avec son armada espagnole depuis 5 -6ans correspondent à l'entrée de Pluton planète de pouvoir et de régénération des forces cachées en Capricorne, autrement dit dans son signe zodiacal. Il mène d'une main de maître son groupe, et a su jusqu'à ce tragique vendredi dernier faire les bons choix qui s'imposaient pour amener cette génération dorée à régner sur la planète football.

La désillusion de ce Vendredi 13 correspond à une pleine Lune aux pouvoirs nébuleux

La pleine Lune en Sagittaire opposée, au Soleil du jour, et à la Lune natale du sélectionneur en Gémeaux, a dessiné dans le ciel un double carré à Neptune céleste en Poisson (désillusion, mauvais choix dans la stratégie,). La Jupiter natale de l'entraîneur dans ce même signe du Poisson, est habituellement son alliée et agit comme porte bonheur. Cette dissonance a transformé cette chance, en malchance. C'est un Jupiter en format amplificateur qui a agit sur le coach espagnol comme une forme d' excès de confiance, ou une mauvaise évaluation de la situation. Cet aspect nébuleux a dû peser lourd dans la balance dans cette sévère défaite. Le coach espagnol pourtant très expérimenté, avec un sens du discernement fidèle aux qualités premières du Capricorne, n'a pas bien évalué l'état de forme actuel des joueurs qu'il a aligné sur le terrain. Si cette déroute a été vécu comme une vraie onde de choc en Espagne, c'est aussi peut être parce que le thème astrologique du pays est Balance asc Sagittaire, 20 septembre 1500 à 12h (ref astrothème). Avec cette figure céleste tout à été inversé (Uranus opposition au Soleil en Balance), la réussite à fuit les joueurs de la roja, mais aussi parce que sportivement pour avoir regardé le match, le coach s'est trompé.

Sportivement il s'est trompé.

Toujours facile de dire cela après la rencontre, car rien au demeurant en début de parti ne laissait sportivement présager un tel naufrage. Et pourtant en passionné de football, je trouvais qu'aligner en titulaire d'entrée Diego Costa l'attaquant vedette récemment naturalisé espagnol dans son pays d'origine était risqué. Tout d'abord car il sort tout juste de convalescence, et il est conspué par ses compatriotes. Cela n'aide pas à bien entrer dans un tournoi. Il aurait fallu aligner plutôt Villa plus fringant et qui n'a jamais démérité sous ses couleurs tout comme en club. Certes le numéro 9 a crée le pénalty qui a permis à son équipe d'ouvrir le score mais le rendement était faible par rapport à ce qu'il peut faire. Sinon Andres Iniesta très bon avec deux passes dans l'intervalle millimétré qui aurait pu changer le cours du match si David Silva avait concrétisé.

La Hollande comme contre le Brésil en 2010 inverse le cours du match.

Les Hollandais jusqu'au but de Van Persie produisait un jeu médiocre, d'ailleurs je me disais devant mon poste, ils ne vont pas nous refaire la même que contre le Brésil de Dunga en 2010, où la séleçao menait les débats de main de maître, et sur un coup franc bien ex-centré de Snijder, tout la défense brésilienne, le gardien avec étaient passées au travers. Ensuite cela ne fût pu le même match avec une mécanique orange qui s'est mise à fonctionner à plein régime. L'équipe était tout à coup transfiguré. Ce fût un peu le même scenario vendredi dernier puissance 5.

L'équipe espagnol pressée comme des oranges par des oranges.

La réussite et le talent des oranges est incontestable, après l'égalisation c'est un tout autre match, les joueurs espagnols se mettent à déjouer. Ils ne font plus les efforts qui faisaient leur force ces dernières années, le pressing dans la récupération haut. Le jeu de passe est toujours de qualité, mais l'impact physique et l'intensité n'y sont plus. Difficile de se remobiliser après avoir tout gagner. Il peut y avoir une usure physique des joueurs ibériques, beaucoup de match de très hauts niveaux ont été joué par bon nombre de joueurs. A l'image d'un Sergio Ramos brillant et décisif en finale de ligue des champions et si transparent face aux Pays-Bas. A l'image du sprint où Ariel Roben est insaisissable et grille la politesse en sprint au défenseur madrilène. Il se joue ensuite avec beaucoup d'aisance du portier loin d'être à l'image de son équipe dans un grand soir.

L'équipe d'Espagne peut elle rebondir et au moins se qualifier en 8e de finale?

Difficile de se remettre psychologiquement après une telle gifle. En 2010 ils avaient débutés par une défaite face à la Suisse, mais c'était 1 à 0. Contre toutes les statistiques, ils avaient pu être la première équipe à remporter un titre mondial après avoir perdu leur premier match de poule. A l'été 2012, ils ont réédités l'exploit en remportant la coupe d'Europe des nations face aux italiens. Mais depuis cette période on a l'impression d'une fin de cycle, les résultats sont moins probants, l'équipe moins tranchante. Cela peut correspondre au début du cycle de Neptune en Poisson carré à la Lune du coach. Neptune a toujours un côté un peu nébuleux, capable du meilleur comme du pire. Cela reste malgré tout aussi une source d'inspiration et de chance même dans les malheurs. Tout dépend du moment. La prochain match contre le Chili est décisif.

Le 18 juin face au Chili ça passe ou ça casse!

Le soir du match, la Lune est en Poisson et viendra activer la dissonance de Neptune face à la Lune de del Bosque, et la conjonction Soleil-Mercure rétrograde également conjointe à sa Lune. Cette influence est toujours un peu casse gueule pour faire une prévision astrologique, car pas assez nette.

En pour : La conjonction Lune-Neptune céleste sur le Jupiter natal en Poisson du thème de Del Bosque peut être positive surtout si on se fonde sur le fait que cette figure forme un aspect harmonique avec son Uranus natal (retournement de situation) et Soleil (honneur). Reconquête de l'honneur.

En contre: Cette figure forme un carré avec la Lune du thème de l'évènement "Début du mondial 2014" Pleine Lune en Sagittaire au Milieu du Ciel le 12 juin 2014 à l'heure locale. Sans compter le carré avec le Soleil et Mercure du jour.

Conclusion:

Vous allez me dire tout ça pour ça!!! Pas facile avec de telles configurations de trancher, car Neptune mal aspectée donne souvent une tendance à faire les mauvais choix, à se laisser aveugler par certains paramètres au détriment d'autres. Mais même dissonante surtout avec un beau Jupiter en poisson de Vincente Del Bosque, peut aussi être un facteur de chance. Ce sera à mon avis quitte ou double, soit on assiste à un match plein et hégémonique de l'Espagne ou alors un bis repetita de la déroute de jeudi dernier avec une sortie prématurée du tournoi.

Carte du ciel de naissance de Vicente Del Bosque 23 décembre 1950

Carte du ciel de naissance de Vicente Del Bosque 23 décembre 1950

Rédigé par Yanis voyance

Publié dans #Sport & Astrologie

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