1ère stratégie: l'anticipation financière et boursière
Tous ces grands bonnets des multinationales étaient au courant que la bourse allait s'effondrer avant tout le monde. Vous pensez que cette thèse est exagérée? Ce n'est pas moi qui le dit c'est BFM Business du 25 mars 2020 titrait:
Jeff Bezos a vendu pour 3,4 milliards de dollars d'actions AMAZON juste avant la crise.
Je cite l'article que vous retrouverez en référence à la fin de la publication, c'est le Wall Street journal qui révèle le poteau rose:
"en examinant plus de 4000 déclarations relatives à des ventes d'actions de la part de dirigeants côtés entre le 1er février et le 19 mars. Verdict: ils ont bien anticipé le Krach et ont vendu pour un total de 9,2 milliards de dollars de titres de leurs propres sociétés, évitant des pertes potentielles d'un montant de près de 2 milliards d'euros. Pendant que l'indice boursier S&P 500 a chuté lui de 30% sur la période.
L'article renchérit en écrivant: C'est ce qui s'appelle avoir le nez creux, ou connaître les belles personnes.
Les pertes évitées pour le vendeur sont calculées via la variation de la valeur de chaque action entre le moment où elle a été vendue et le 20 mars.
Dans nos prévisions astro-boursières du 16 octobre 2018, réactualisées dans les prévisions de l'année 2020, nous avions donné les dates du 19 janvier et 4 février.
Dans notre première chronique sur le Coronavirus du 11 février nous avions noté que les dates correspondaient aux débuts des fortes corrections des marchés et à la dégringolade des cours de bourse.
Mais la plus forte chute record fût celle du 12 mars 2020 au lendemain de la pleine Lune Vierge/Poisson.
La bourse de Paris avait enregistré la plus importante chute de son histoire 12,28%, dans les autres pays c'était les mêmes plongeons vertigineux. (voir notre publication).
Or qu'avons nous eu exactement le 11 mars la veille du krach, le patron de l'OMS décrétait la pandémie !
C'est le 16 mars quelques jours plus tard qu'Emmanuel Macron nous assenait son discours martial complètement anachronique: "nous sommes en guerre avec à la clef le confinement généralisé".
La mise en quarantaine était la pierre angulaire du plan pour que le transfère de richesse s'opère entre l'économie réelle et l'économie virtuelle& boursière qui débordait à raz bord de fausse monnaie.
C'est ainsi que la crise sanitaire a eu à la fois pour fonction:
1) Donner le top départ d'une crise financière en gestation depuis des années avec la manipulation de la monnaie des banques centrales par le fonctionnement de la planche à billet depuis 2015,
2) Masquer par un psychodrame sanitaire la crise boursière. Le Virus devient l'alibi pour tout justifier.
Les prises de décision politiques ubuesques sur le plan sanitaire sont là aussi pour créer une diversion auprès de l'opinion publique et imputée tout le marasme économique au seul coronavirus.
(Le débat sans fin sur la chloroquine sert aussi en partie à ça en plus de faire monter les actions d'un groupe comme GILEAD et de manière générale Big Pharma pour vendre du médicament).
Créer la rareté et la pénurie de médicament par la rupture des chaines d'approvisionnement et le fermeture des frontières, permet de rendre encore plus attractif et doper la demande du médicament. Big Pharma ne peut que se frotter les mains!
Même un médicament comme la chloroquine peu coûteux génère des profits au laboratoire, et fait renaître l'intérêt un médicament "has been" dont la demande est mondiale. Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Alors que dire d'autres traitements plus coûteux? Même s'ils ne sont pas efficace médicalement parlant, le fait d'en parler à la télévision via les médecins VRP en conflit d'intérêt avec le labo en question permet de faire grimper le cours de l'action de l'industriel de la pharmacie qui fabrique le médicament. C'est ainsi que la firme engrange mécaniquement des profits sur le seul fait de la spéculation. Et tant pis pour les mourant et les malades.
Alors toujours convaincu qu'on a arrêté l'économie pour sauver des vies?
Cette crise sanitaire a eu bien d'autres fonctionnalité, et permet progressivement de changer de paradigme monétaire à bout de souffle et en fin de vie.
Le système de l'après Bretton Woods en vigueur depuis 71 aura rempli son office enrichi les puissances financières par la captation des taux d'intérêt du à l'endettement des nations. Il nous a fait marcher sur la dette et nous a rendu tributaire et dépendant de devoir payer faute de liquidité suffisante, désormais avec nos bijoux de famille et biens publics (privatisation des autoroutes, bientôt des hôpitaux, de la police, etc..) pourtant déjà payé avec nos impôts.
Les précautions sanitaires servent de prétexte pour contrôler la population, leur imposer les restrictions des libertés individuelles et publiques (restriction, voir impossibilité de manifester), traçage puis vaccination qui représente une manne financière colossale pour Big Pharma.
Cette crise sanitaire est un alibi pour changer de monnaie passer en virtuel pour éviter la soit disant transmission du virus par l'échange de monnaie sonnante et trébuchante ainsi que des billets.
Ne parlons pas des velléités eugéniques (voir le scandale du rivotril, et même de la chloroquine qui aura envoyé à la morgue bon nombre de nos compatriotes les plus fragiles et plus âgées).
En bref, c'est un coup de maître vraiment diabolique, car les gens de la rue qui ne sont pas au fait de toutes ces subtilités financières et boursières, comme le fait que l'économie a été artificiellement maintenue à flot et sous perfusion avec de la fausse monnaie, sont convaincus que c'est à cause de ce maudit virus qu'ils sont dans la panade économique.
Alors que le système financier qui portait en lui les germes de sa dégénérescence était déjà en train de péricliter.
En faisant s'effondrer l'économie réelle représentée dans le zodiaque par le Taureau où séjourne Uranus la planète du capitalisme, cela a favorisé l'économie boursière et virtuelle.
Avoir toutes ces années émis de la fausse monnaie (planche à billet) a permis de retarder l'échéance du krach pour le faire exploser dans le timing voulu.
L'autre fonction d'arroser les marchés d'opium monétaire a permis d'attirer de nouveaux troupeaux d'investisseur comme on dit dans le jargon des traders. C'était aussi s'assurer le moment venu de mieux les tondre.
Il y a un vieux dicton chez les financiers qui dit que l'argent revient toujours dans la poche des plus riches.
Le déversement de la fausse monnaie sur les marchés boursiers surtout depuis 2015 a permis sans arrêt d'attirer de nouveaux troupeaux d'investisseurs pour mieux les tondre le moment venu dans l'agenda programmé et que l'argent revienne au plus puissants qui peuvent acheter comme au Monopoly des biens réels (Terre agricoles, Eau, Bien public, fleurons industriels et patrimoines nationaux, or...)
Cette fois les pontes de la haute finance qui était au courant de l'agenda ont pu faire coup double, non seulement en revendant la veille du krach leurs titres par exemple dans l'aérien, l'hôtellerie, la restauration pour tout racheter quand tout est a bas prix. (Coup classique).